Déjà 992 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Ol (Saône et Loire)
17 février 2024
Bonjour, je suis agriculteur reconverti, après 15 ans de cuisine, je me suis installé en 2016 sur une petite exploitation…
Be. (Finistère)
17 février 2024
A bien regarder l’évolution de l’agriculture, elle est rentrée dans le phénomène « économie d’échelle forcenée ».
il faut toujours agrandir les surfaces , puis la mécanisation doit suivre et la vie de l’exploitant devient tributaire des différents aléas qui , avant , étaient « absorbables » et au fil du développement deviennent des menaces lourdes de conséquences . le revenu des agriculteurs n’est donc pas proportionnel à l’énergie qu’il doit déployer maintenant . il y a donc menace globale sur la transmission de grandes exploitations au vu de leur financement aléatoire . et ensuite chute du nombre d’exploitants et importation de plus en plus incontrôlable .
Va. (Bas-Rhin)
17 février 2024
L’élevage de bovins est une activité chronophage structurellement déficitaire. Je suis installée en bovins allaitants dans le nord du Bas-Rhin….
So. (Jura)
17 février 2024
Tout simplement, STOP AUX PESTICIDES qui entraine la disparition de notre biodiversité et qui rend malade nos agriculteurs.
Relançons le plan éco-phyto et consacrons des moyens financiers à une transition vers une agriculture plus respectueuse de notre environnement.
Sa. (Haute Vienne)
17 février 2024
Trop de contraintes administratives, eux peuvent faire de erreurs, nous nous n’avons pas le droit. Trop de contrôles!
Jm. (Tarn et Garonne)
17 février 2024
Obligation de couverture des sols l’hiver en grandes cultures sauf si … ou encore sauf si … ou bien encore dérogaton si …). Marre de rendre tout obligatoire . Même si il y a sûrement des bienfaits, ce qui est possible dans une exploitation n’est pas toujours transposable aux autres exploitations d’un pays tout entier. Nous dans le contexte GNR cher, difficulté d’implantation … il nous faut faire deux semis coûteux par an pour une seule récolte dévalorisée commercialisée pour répondre à des éxigences vertes. Dans le même temps dans des pays de l’émisphère Sud ils font deux semis pour deux récoltes. J’ai rien contre l’écologie car moi même en partie en BIO (en crise globale), mais tout rendre obligatoire n’est pas la solution. Aller vers le volontariat (sur beaucoup de thèmes) tout en récompensant celui qui arrive à le faire !!! JMB
Ch. (Seine-Et-Marne)
17 février 2024
je cotise depuis 1986 et bientôt à la retraite, épuisée, indemnisée 600€00 par mois pendant le traitement de mon cancer et bientôt à la retraite avec à peine 1000€00/mois… actuellement au boulot 80% en paperasseries inutiles et croissantes, Msa, Dreat, DDPP, inspection du travail, compta, j’en passe, c’est affligeant, tout est fait pour éliminer les petits et évoluer vers des grosses firmes inhumaines, quelle désolation !
Jc. (Indre)
17 février 2024
Notre agriculture est plus propre que l’agriculture de nos concurrents et nous sommes incapables ni de le prouver ni de la faire savoir.
Créons une ONG,qui aura pour fonction de prélever par huissier ,de manière aléatoire des échantillons de produits alimentaires Français et étrangers .
Ces échantillons feraient l’objet d’analyses sanitaires et de résidus phyto-sanitaires ,résultats qui seraient publiés sur un site internet en accès libre .
Ces résultats seraient accompagnés d’éléments de traçabilité ,origine ,importateur ,distributeur ….
Le but serait d’éclairer le consommateur quant au conséquences sur la qualité , de ses arbitrages sur les prix .
Ol. (Saône et Loire)
17 février 2024
Les agriculteurs se trouvent souvent enchaînés par un dédale de normes et de règlements, tel un labyrinthe sans fin où…
Am. (Loire Atlantique)
17 février 2024
je suis éleveuse de chiens, nous subissons depuis toujours une concurrence déloyale de la part des particuliers qui vendent à…