Déjà 992 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Jm. (Tarn et Garonne)
18 février 2024
Comme sûrement sous le savez, dans les régions sont mis en application par les DRAFF des Schémas Directeurs Régionaux des…
An. (Lot)
18 février 2024
Il est grand temps de contrôler et brider la grande distribution et ses marges pharaonique. Ils se pavanent à la télé en faisant de grand discours contre l’inflation mais en sont les premiers responsables il faut réguler ceci très rapidement pour l’agriculteur mais aussi le consommateur. Obligeons un étiquetage avec les marges de chacun le prix départ Eleveur depart transformateur industriel et le prix final. Un peu de transparence.
Lv. (Saône et Loire)
17 février 2024
Il faut supprimer la MSA et rejoindre le régime général de la Sécurité Sociale, comme cela a été le cas…
Do. (Allier)
17 février 2024
Enormément d’organismes mis en place en soutien aux agriculteurs sont devenus au fil du temps des structures qui ont beaucoup de droits et peu d’obligations jusqu’ à instaurer des sentiments de corruption au niveau des DDT, Safer, agence de l’eau, voire représentants du monde agricole .
Ceci est aussi une des grandes causes du mal être agricole
Cr. (Allier)
17 février 2024
Aujourd’hui on prend conscience que les terres agricoles sont nécessaires non seulement pour produire de l’alimentation mais donnent aussi la possibilité de produire de l’énergie . Le discours convenu de nos actuels dirigeants agricoles est d’empêcher au maximum la mise en place de parcs photovoltaïques au bénéfice de leur maintien en production de produits alimentaires .la France aurait besoin rapidement de dédier 250000 hectares en agrivoltaisme pour atteindre ses objectifs d’énergie verte. Force est de constater qu’avec 1million trente mille équins en France c’est plus d’un million d’hectares qui ne produisent pas pour nourrir la population.il n’est donc pas un problème de trouver de la surface pour faire de l’électricité,cette production d’électricité par sa redevance permettra à nos communautés de communes de retrouver des capacités de développement et de redevenir attractives.
Ma. (Tarn et Garonne)
17 février 2024
Bonjour à tous,
Je pense qu’un retour au contrôle de nos frontières est nécessaire pour redonner des couleurs à notre agriculture. Il serait ainsi possible de taxer les productions qui ne répondent pas à nos normes. Cela aurait pour effet une juste concurrence. Quand au taxes perçues, elles pourrait servir à aider l’investissement des productions correspondantes.
Ainsi nos productions ne serait pas valorisées au moins disant du commerce mondial mais soutenu mecaniquement.
Le taux de taxe serait donc le levier principal de soutient de prix aux agriculteurs.
C’est une sorte de protectionnisme à la façon suisse mais plus facilement generalisable à l’échelle de notre pays et de la diversité de nos productions.
Quand au taux à appliquer, nous devons avoir des personnes suffisamment qualifier à la CR, le but à mon sens étant d’arriver à une valeur rémunératrice de chaque production.
La. (Cantal)
17 février 2024
Les produits ne respectant pas les règles sanitaires et les obligations de productions françaises devraient être taxés.
D’autant que ces produits sont issus de pays avec des coûts de production peu élevés, notamment à cause du faible coût de main d’œuvre, et sont acheminés de façon polluante.
Cette concurrence déloyale est inacceptable. Elle est aussi dangereuse quant à la santé des consommateurs.
St. (Nord)
17 février 2024
nAu départ la PAC était faite pour assurer un prix satisfaisant des céréales par rapport au prix mondial aux agriculteurs…
Pa. (Vendée)
17 février 2024
Stop a la production qui ne respectent pas nos normes!!!
Mi. (Hérault)
17 février 2024
Bonjour installé depuis 11 ans en poules pondeuses sur la commune de laverune , issus de familles d agriculteurs, titulaire d un bta et bts tage , ils est impossible de construire le moindre bâtiment pour pouvoir s agrandir et développer sont entreprise , les plu sont verrouillé cordialement michel barriviera ferme du chot