Déjà 993 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Ge. (Isère)
18 février 2024
Je suis arboriculteur depuis 26 ans.
Plus on avance dans le futur, plus on croule sous la paperasse
( assurance ,traçabilité , dossier TIPP ,…..)
De plus , il devient de plus en plus difficile de trouver de la main d’oeuvre qualifiée et compétente. Il faudrait mettre en place des formations, en partenariat en France Travail et les lycées agricoles pour former du personnel sur qui on peut s’appuyer.
Aujourd’hui, il faut former des personnes tous les jours , en pleine récolte ,parce que les personnes ne restent que quelques jours car le travail est physique et mal rémunéré. On voudrait payer plus mais nous ne pouvons pas à cause de l’inflation des intrants, des coûts de production trop élevés….et un non respect de la loi Egalim
Nos produits seraient payés à un prix juste, nous pourrions mieux rémunérés nos saisonniers ,les motivés plus et peut-être embaucher en CDI
Ma. (Haut-Rhin)
18 février 2024
Il faut réduire de 50 % les charges administratives, comme toutes les branche agricole la viticulture croule sous les contraintes administratives et surtout si vous faite de la vente directe
Il faut également réduire les charges sociales on ce fait assassiné par la MSA
Il faut aussi réduire les contraintes règlementaires de Paris et Brussel
Refuser les futures facture électronique car c’est encore un flicquage de plus
Limiter les normes environnemental et donner moins de pouvoir à toutes ces associations qui veulent nous apprendre notre métier
L’assurance récolte comme elle est faite n’est pas cohérente.
L’excès d’eau n’est que si la vignes ou le champs est noyer
alors que le grand problème en viticulture et agriculture Bio est l’excès d’eau qui engendre le Mildiou et l’Odium en vignes en céréales il y a d’autres maladie que je ne connait pas
Il y a encore beaucoup de chose a dire … ce sont mes principales
Pa. (Lot et Garonne)
18 février 2024
Moins de superposition de normes imposées par la grande distribution.
Stop à la superposition des contrôles.
Stop à l’empilage des formations pour avoir le droit de faire
Stop à toute la paperasse qu’il faut gratter au lieu de faire notre boulot.
Trop de gens « instruits » parasitent l’agriculture
Jt. (Eure-et-Loir)
18 février 2024
Il y a trop de charge, électricité, impôts, …
La. (Charente)
18 février 2024
Toutes les difficultés agricoles reposent sur la fluctuation des prix. Personne ne devrait nous imposer nos prix de vente.
La concurrence déloyale est inadmissible
Em. (Saône et Loire)
18 février 2024
Les produits ne respectant pas les règles sanitaires et les obligations de productions françaises devraient être interdites
Cette concurrence déloyale est en plus dangereuse pour la santé des consommateurs francais.
Ax. (Loir- et-Cher)
18 février 2024
il est urgent de mettre en place les clauses miroirs; celles ci permettront de répondre à long terme sur les…
Ma. (Tarn)
18 février 2024
Bonjour
Notre système agricole est arrivé à un point de non retour. On bosse pour faire fonctionner ce système et non pour vivre. Stop à tout ça.
Reprenons la main sur la fixation des prix de vente de nos produits. En finir avec l’auto facturation qui nous empêche d’être maître de nos ventes et en même temps supprimer les taxes imposée ( CVO, normabev, cniel… ) Qui n’apporte rien et nous desservent.
Rééquilibrer la répartition des marges sur les produits.
Bien prendre en compte le prix de revient avec la rémunération de l’agriculteur comprises.
Mi. (Lot)
18 février 2024
Parents de jeunes ayant repris depuis 5 ans une exploitation agricole élevage porcin et vaches limousines en hors cadre, 2 enfants de 7 et 2 ans. Nous les voyons bosser comme des fous sans pouvoir sortir aucun revenu. Ils ne sont pas aidés par les banques. La msa n’en parlons pas… la paperasse ils croulent dessus. Conge maternité inexistant faute de personnel. …. Comment voulez-vous trouver des jeunes prêts à bosser dans de telles conditions ? Il est grand temps que nos politiques ouvrent les yeux.
Gi. (Haute Garonne)
18 février 2024
non aux retraites minable au mêmes niveau de personnes rentre en France et sans y avoir cotise. non a la suppression des aides pac sur les surfaces de subsistances .droit de successions trop élevé, pour les jeunes installe. prix rémunérateur des productions agricole .créations de nouvelles retenues d’eau pour l’agriculture.