Déjà 993 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !

Jg. (Pyrénées Orientales)

PHYTOS

20 février 2024

Tout d’abord, j’envoie un message de soutien le plus profond à la COORDINATION RURALE, au sujet du mouvement agricole actuel.

Bienvenue…

Is. (Sarthe)

CONCURRENCE DÉLOYALE

20 février 2024

Les élevages de chiens et de chats subissent une concurrence déloyale
vis à vis des particuliers qui font reproduire leur chienne ou leur chatte
et mettent les petits à vendre sur le site Leboncoin en passant des annonces gratuitement dans la rubrique « don ». Ils ne déclarent rien aux impôts, ne payent pas de cotisations à la M.S.A.
Il faut: – supprimer la dérogation qui à l’origine ne devait exister que pour les races dites « rares ».
– imposer l’obligation de la stérilisation des chiens et chats des particuliers ce qui en plus dégorgerait les refuges.
– interdire aux sites non spécialisés de publier des annonces de ventes d’animaux.
– interdire aux animaleries de continuer de vendre des chiots en click and collect (les chiots et chatons sont cachés en arrière boutique)
– interdire les salons animaliers
En 2023, de nombreux élevages ont fermés

Ma. (Hérault)

GRANDE DISTRIBUTION

20 février 2024

Nous souffrons de concurrence déloyale et ne voulons pas une autre aide ponctuelle qui nous habitue à être en position…

J.m (Tarn et Garonne)

IRRIGATION-EAU

20 février 2024

Bonjour, j’ai déposé une contribution concernant une réflexion à porter sur la déconnexion des cours d’eau de certaines retenues collinaires….

Gu. (Haute-Vienne)

RETRAITES AGRICOLES

20 février 2024

Énorme tristesse de voir comment l’état et l’Europe traite ses agriculteurs qui sont les pilliers de la population. Sans eux la France rurale serai en friche et le peuple affamé. Sans parler des drames individuels qui se passent dans les familles qui sont agriculteurs depuis des générations. Il y aurait tellement à dire !!! Je n’ose même pas parler de ma petite retraite de 500 euros après 50 ans passé à travailler au côté de mon mari dans un élevage ovin. Un grand merci à vous, la CR pour votre engagement personnel dans la défense de notre agriculture. Parce que sans vous « on crèvera en silence »!!!

Ph. (Haute Vienne)

MAL-ÊTRE PAYSAN

20 février 2024

Les prix en élevages ne permettent pas de vivre décemment et d’anticiper l’avenir .
Trop de contraintes administratives .
La PAC est trop contraignante, change tous les ans et les aides diminuent constamment .
L’administration s’ introduit sur nos propriétés privées sans autorisation (OFB armée, drones) pour nous surveiller .Contrôles répétitifs .
Droits de succession trop élevés.
Retraites de misère par rapport au travail effectué .

El. (Bouches du Rhône)

CONCURRENCE DÉLOYALE

20 février 2024

Pommiculteur : pourquoi nos produits sont en concurrence avec ceux dont les normes phytos, main d’oeuvre et administration sont différentes ?? à tous les coups nous perdons…. un peu de protectionnisme pour relancer les productions, pour avoir de la visibilité et un cours suivi a minima

Br. (Maine et Loire)

ADMINISTRATION – CONTRÔLES

19 février 2024

Aujourd’hui je suis éleveur de bovins et de poulettes future repro depuis 2009. Je vais vous lister les choses qui…

Me. (Ardèche)

PHYTOS

19 février 2024

Je suis producteur BIO depuis peu, mais c’est grâce au plan ECOPHYTO que j’y suis arrivé, c’est grâce à lui…

Ga. (Vendée)

PRIX

19 février 2024

PRIX : le gouvernement donne des gros milliards aux pays européens mais verse des petits millions au monde agricole français.

La matière première n’est pas payée au producteur comme il le devrait, il ne suit pas l’inflation du coût de la vie !!!!

Exemple sur la vente d’un veau laitier :
vendu en 2004 au prix de 75 €
vendu en 2024 au prix de 75 €

Contrairement à un tracteur :
acheté 100 000 € en 2004
acheté 170 000 € en 2024 !!!

Prix d’électricité en pleine augmentation malgré les éoliennes implantées à moins de 3 km de nos exploitations
des intrants toujours plus chers d’année en année et pour nos produits jamais bien valorisés
des exploitants en double activité pour réussir à se nourrir
70 heures de travail pour un salaire de misère.

PLUS DE PRIX MOINS DE PRIMES