Déjà 992 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Da. (Puy-de-Dôme)
16 février 2024
le paysan ne sait jamais ce qu’il va gagner; les prix sont de plus en plus bas !Depuis 1990 le prix du blé n’a pas augmenté! Pourquoi ne pas établir un prix plancher pour tous les produits agricoles?
La. (Indre)
16 février 2024
Il faut à tout prix encourager le stockage de l’eau l hiver pour ne pas subir de restrictions l’été.
Il faut également revoir la carte des cours d’eau qui ne le sont pas ( fossés de bassin versant) qui permettent de remplir les retenues collinaires sans nuire à l’activité hydrologique des bassins versants.
Ni. (Tarn-Et-Garonne)
16 février 2024
Le prix de l’électricité es bien trop élevé pour nos exploitations j’ai l’impression de travailler pour edf en payant presque 1000 euros par mois ….la première économie c’est l’argent que l’on dépense pas ….il faut créer des contrats spéciaux pour les agriculteurs pour leur permettre d’avoir rapidement de la trésorerie…
Ch. (Tarn-et-Garonne)
16 février 2024
Nous devons mettre en place un coefficient multiplicateur pour les produits agricoles départ ferme.
Solution pour contraindre la distribution, les grandes coopératives multinationales, négociant de prendre en compte notre revenu
Jé. (Cotes d’Armor)
16 février 2024
Je suis Contre le non retournement des prairies de plus 5ans . J’ai acheté des champs, j’estime que je peux les cultiver à ma guise comme bon me semble et non comme les bureaucrates le décident ! Je ne suis plus chez moi depuis cette loi.
Ro. (Oise)
16 février 2024
Étant en polyculture élevage,vaches laitières et viande.
Nos prix de ventes sont vraiment trop bas.Que ce sois,le lait, la viande ou nos céréales.Et les prix exorbitants en grande surfaces qui eux ne font que d augmenté.
On en a assez que l acheteur nous fixe le prix.Nous voulons un prix fixe de nos marchandise et non un prix qui n arrête de baisser. Alors que les aliments,les engrais ainsi que les phytosanitaires n arrête pas d augmenté.
Ainsi que l âge de la retraite,on travaille 365 sur 365 jours sans aucune reconnaissance pour la penibilité que nous avons pour notre départ en retraite.
BR. (Cantal)
16 février 2024
J’ai trois propositions pour aider l’elevage français :
1 – baisse du tarif de l’électricité.
2- baisse du tarif du GNR.
3- fiscalité : modification du calcul pour diminuer la charge MSA.
Ph (Charente)
16 février 2024
onjour
Des agris en redressement doivent impérativement payer au mandataire judiciaire une somme due avant une date donnée. Les retards de versement de la PAC les mettent dans des situations intenables, d’un côté pression de la justice pour verser l’argent de l’autre l’administration qui ne respecte pas ses engagement de paiement. Donc agri en difficulté et on rajoute des soucis, le risque pour ces personnes devient immense.
Hug (Indre)
16 février 2024
Bonjour,
Il serait bien que les aides PAC ne soient pas retenues à la sources en cas de contrôle faisant apparaître des manquements.
En effet, nous sommes à l’encontre de toute procédures contradictoires, ce qui en matière de droit laisse songeur. Une fois que l’administration a opéré sa soustraction, il est impossible de revenir dessus, même si l’on prouve sa bonne foi.
Pour mon exemple, j’ai eu un contrôle sur des tournesols qui n’étaient pas levés. J’ai donc eu suppression de mes aides oléagineux (à l’époque), colza y compris alors qu’il n’était pas concerné.
J’ai apporté à l’administration mes factures de semences du 1er semis, non levé, suite à météo défavorable. Mes factures de deuxième semence, pas levé également, des relevés météo de la station Météo France locale.
L’administration m’a répondu de ne pas insister, sinon, elle me retirait l’ensemble des aides PAC de l’année.
Je me suis assis sur mes aides oléagineuses…
Gre. (Aude)
16 février 2024
En tant qu’éleveur je suis extrêmement préoccupé par la place laissée dans les médias à toutes les théories anti-viandes (véganisme,…