Déjà 987 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Did. (Calvados)
16 février 2024
Il faut absolument que les prix de nos produits nous permettent de vivre sans subventions en mettant une loi ou le producteur puisse fixer son prix de départ
Xa. (Gers)
16 février 2024
prix céréales bien trop bas.
rien de prévus a ma connaissance.
Be. (Lot-Et-Garonne)
16 février 2024
Prix céréales trop bas, marge trop faible, coût de production trop élevé, report des échéances pour améliorer la trésorerie, 30 ans a survivre et une année pour mourir a ce rythme là.
Ph. (Indre)
16 février 2024
Je serais partisan d’un prix minimum garanti en céréales ( ex: 200€ en blé pour 2024) renégociable annuellement.
C’était le cas avec le prix ONIC lors de mon installation.
Le marché à terme ne sert qu’à gaver les fonds de pensions, les financiers de toute sorte, mais surement pas les agriculteurs.
Ch. (Allier)
16 février 2024
Il faut revoir la durée d’amortissement du matériel agricole ,7 ans c’est parfois trop long par rapport à la fiabilité du matériel aujourd’hui.
Al. (Haute-Saône)
16 février 2024
Bonjour,
Jeune Agricultrice, installée depuis 2020. Je ne peux pas commercialiser aux cantines collectives, n’étant pas un cas isolé (regarder la…
Ch. (Allier)
16 février 2024
Comment se fait il que la dotation d’installation JA qui est de 70000 euros au niveau européen est versée dans son intégralité sans obligation notamment en Belgique et qu’en France non seulement les différents organismes en ponctionnent en moyenne 50% mais en plus les obligations peuvent aller jusqu’ au remboursement intégral de la DJA?
DJA des règles différentes suivant les pays
Al. (Loir-Et-Cher)
16 février 2024
Concernant notre retraite la MSA est très mal gérée avec trop de personnel et des très gros salaires de dirigeants .En attente du nouveau calcul promis pour augmenter le montant des retraites que l’on perçois à ce jour.
Ben. (Ardèche)
16 février 2024
Avec l augmentation de toutes les charges , nous sommes également en Bio, nous avons dû augmenter nos tarifs de ventes. Mais avec la crise du pouvoir d achat il y a une véritable baisse de fréquentation des marchés et les gens se détourne du Bio. De plus nous ne pouvons concurrencer les tarifs du Bio des grandes surfaces.
Jean-M (Rhône)
16 février 2024
Bonjour
A ce jour nôtre agriculture se meurt! quelque soit la production le prix des denrées agricoles n’est plus en corrélation avec les coûts de productions. Même en vente directe aux consommateurs ,il devient difficile de répercuter la hausse continue des charges sur nos prix de ventes aux consommateurs pour la raison essentiel que leur pouvoir d’achat n’a pas suivit l’inflation!!
La seul solution pour s’en sortir c’est de se passer de main d’œuvre salariale et de multiplier nos heures de travail pour au final arrivé à un cumul de 100 heures semaine!!!
est-ce normal de travailler autant et ce retrouvé avec un revenu de trois euros de l’heure? Quelle profession l’accepterai?
Il suffirait d’augmenter la valeur des denrées agricoles départ ferme, tout en réduisant les importations inutiles, cela permettrai de créer de l’emploi, de mieux rémunérer les paysans et de relancer l’installation en agriculture.
A BON ENTENDEURS SALUT…..