Déjà 992 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
JS. (Savoie)
17 février 2024
Les agriculteurs doivent vivre de leur activité et pas de subventions. Pour cela il faut accepter et faire accepter qu’une…
Ca. (Aveyron)
17 février 2024
Comment demander à nous paysans de travailler toujours mieux, avec tout un suivi administratif, des normes de plus en plus…
Re. (Indre)
17 février 2024
La Coordination rurale, si vous voulez « peser » dans le débat, il ne faut pas hésiter à renverser la table.
IL nous faut des » PRIX ».
Bien évidemment ce n’est pas vous qui allez faire augmenter de manière significative les prix mondiaux, mais il y a une opération qui serait relayée par les médiat, et qui serait partagée par tous les AGRIS européens, c’est de : RECLAMER l’arrêt immédiat des importations ukrainiennes puisqu’elles ne correspondent pas à NOS contraintes de productions, et ça instantanément ça tendrait les cours.
TOUT ce décide au niveau européen, il nous faut l’appui des autres agris européens, et là , je suis persuadé que vous auriez gain de cause.
Le reste n’est que palabre , il faut laisser ça aux autres.
Il faut des » PRIX »
Mu. (Ille et Vilaine)
17 février 2024
Ne plus être là barrière d ajustement le partage des marges et la transparence de grande distribution et des industriels.un prix minimum garantie sur les produits qui paye « correctement » les producteurs et qui soit re évaluer régulièrement suivant les augmentations des charges. Harmonisation des normes ne plus avoir de normes franco française !!
Be. (Haute Garonne)
17 février 2024
Je souhaite proposer une réorientation des aides de la PAC qui sont liées essentiellement aux surfaces vers l’emploi.
Si 50% des aides liées aux surfaces étaient orientées, vers le nombre d’UTH de l’exploitation (salariés et employeur), cela permettrait à beaucoup de petites exploitations en maraîchage, arboriculture ou culture spécialisée, qui sont d’ailleurs souvent en vente directe d’améliorer considérablement le revenu et la rentabilité.
L’impact sur les grandes exploitations qui emploi peu de main-d’œuvre, ne serait pas de nature à mettre ces dernières en difficulté.
Cela améliorerait la qualité de vie des chefs d’exploitations et de leurs familles, maintiendrait l’emploi en zone rurale, permettrai à des exploitations plus modestes de se développer grâce à des financements bancaires garantis par des revenus plus fiables.
Ro. (Seine Saint Denis)
17 février 2024
Trop d’administratif et pression trop forte des écologistes
Co. (Lot Et Garonne)
17 février 2024
Aujourd’hui on ne peut plus demander aux paysans français de produire de façon plus écologique et en même temps laisser rentrer tout et n’importe quoi dans notre pays.
Il faut absolument favoriser les bonnes pratiques, dans le secteur auto on a mis en place des bonus /malus pourquoi pas les denrées alimentaires ? De plus supprimer une molécule en disant qu’elle est dangereuse pour la santé et la laisser consommer aux français via l’importation c’est soit criminel, soit un vaste mensonge. Les produits importés doivent respecter nos normes si ce n’est pas le cas c’est DESTRUCTION.
Dans notre département il y a 3 agents de la DGCCRF et 45 agents de OFB, il y a de la ressource pour faire réaliser et respecter ces exigences…
JM. (Tarn-Et-Garonne)
17 février 2024
Bonjour,
Je suis producteur de noix 82 qui a été aidé à la rénovation de verger par France Agrimer fût une époque ( Quand j’avais rien !!! Plus maintenant car voir condtions d’élégibilité actuelles). J’apprends durant les bloquages agriculteurs avec des milliers de collègues nuciculteurs Français en crise noix depuis deux ans que nos politiques sont en discussions avec le Chili (producteur de noix) pour un marché de libre échange. Mesdames et Messieurs les Politiques regardez la situation de l’agriculture (Mafia) d’Amérique du Sud avant de nous donner des leçons de morales et de savoir vivre ici en France. Réflechissez avant de vous engager. Si vous ne connaissez l’agriculture, à minima abstenez vous! Si vous vous engagez, vous porterez la responsabilité de l’abandon de l’agriculture française. JMB
Fa. (Drome)
17 février 2024
on se meurt par des prix bas, trop de papiers, trop de bureau a faire.
pas normal de faire rentrer des produits pas aux mêmes normes que nos produits.
pourquoi rentrer des produits alors qu’on les as en France, attendre la rupture avant de commander a l ‘étranger des produits équivalent
Ju. (Lot et Garonne)
17 février 2024
Concurrence déloyale avec les auto-entrepreneurs en tant que paysagiste, ils n’ont pas les mêmes cotisations (MSA) mais nous sommes en concurrence sur les entretiens de jardin avec les particuliers ou même de l’élagage.
N’oubliez pas que les vrai paysagiste (qui cotise à la MSA) sont vu comme des agriculteurs pour l’administration française mais nous sommes oublié à chaque fois….