Déjà 993 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Gu. (Indre Et Loire)
17 février 2024
La mondialisation sans encadrement a affaibli d’années en années l’agriculture française, ainsi que le recours de plus en plus conséquent aux intrants.
Revenir à une agriculture paysanne en harmonie avec son milieu naturel contribuant à son entretien, alimentant les circuits courts, devrait permettre de sortir de l’impasse dans laquelle se fourvoie l’agriculture
française.
Produire de la qualité, mise en marché localement, diversifier les productions sur la même exploitation devrait être une autre direction.
Mo. (Loire Atlantique)
17 février 2024
Ne pas donner des subventions européennes seulement pour les gros producteur qui vendent à l’étranger des céréales.
Plus de souveraineté alimentaire.
Encourager les circuits courts par plus de mise à disposition de locaux par les mairies ou de subventions à des camions communs entre producteurs locaux et boutique en circuits courts.
Plus d’éducation sur l’agriculture dès la maternelle.
Gu. (Drome)
17 février 2024
De la transparence entre le prix payé au producteur et celui payé par le consommateur
Se. (Tarn et Garonne)
17 février 2024
Trop de différences de normes , notamment phytosanitaires, d un pays à un autre.
Autoriser en France des produits phytosanitaires auparavant interdits pour lutter contre la concurrence notamment espagnole. Il ne s agit pas d une simple concurrence de produits , mais aussi d une concurrence de stress et de pression qui d un agriculteur français à un autre agriculteur européen est différente. Un agriculteur qui perd sa récolte suite à la mouche de la cerise ou au mildiou de la vigne perd non seulement son revenu mais aussi sa confiance en lui, son amour propre et sa raison de vivre.
Gu. (Drome)
17 février 2024
Réglementations nationales et européennes différentes par rapport aux autres pays. Importation de produits non réglementés ou de réglementation plus cool. Contrôle très poussés et inquisitoires avec aucuns respect de l’exploitant de son entourage ainsi que de son emploi du temps. On nous fait ressentir de suite que nous sommes des délinquants.
Al. (Ille et Vilaine)
17 février 2024
Nous comprenons et soutenons la cause des agriculteurs en France. Nous avons été sollicité pour pallier aux difficultés à recruter des salariés d’élevage. Nous sommes un centre de formation et de recrutement F2o, basé à Rennes (35) spécialisé dans l’agro et dernièrement sollicité par des éleveurs Français qui peinent à recruter du personnel. Nous intervenons partout en France. Nous avons pris conscience de l’enjeux et l’importance de recruter et de former de nouvelles personnes aux métiers agricoles afin de garantir une souveraineté alimentaire indispensable au besoin de notre pays.
Sachez que nous pouvons intervenir dans ce domaine pour les élevages qui souhaitent faire perdurer leur activité en renforçant leur effectifs.
Nous restons à votre disposition et soutenons votre mouvement.
F2o
Fr. (Gers)
17 février 2024
Bonjour ,
Je pense que dans le pouvoir d’achat à tous les échelons, corps de métier et particuliers le passage à…
Ma. (Indre)
17 février 2024
Bonjour,
Concernant l’écorégime ( le sois disant fer de lance de la PAC 2023/2027 ).
Lorsque j’ai signé la Pac 2023, l’écorégime était composé de deux niveaux.
niveau 1 à 60€/ha
niveau 2 à 80€/ha
Mon exploitation était éligible au niveau 2, or le paiement réel a été de 62€/ha.
A titre indicatif, ce non maintient de l’engagement de l’Etat, me fait perdre 5000€ par rapport à l’ancien » paiement vert ».
il y a donc un double discours entre la volonté réelle de verdir l’agriculture et son application.
Cordialement,
Jo. (Bas-Rhin)
17 février 2024
Bonjour
la moitié du canton na jamais connu d’aménagement foncier
les fossé ne sont pas curé
les aides plan batiments vont aux élus de la chambre d’agriculture
je demande des prix qui rémunère le travail et non des aides
le bon sens paysan serait bienvenue
cordialement
Mi. (Morbihan)
17 février 2024
Je suis artisan et commerçant et totalement solidaire de la cause agricole.
Comme tout artisan ou commerçant, les agriculteurs devraient avoir des revenus décents sans avoir recours aux aides de l’état. Ils devraient pouvoir fixer leurs prix de vente et ne pas dépendre du bon vouloir de grands groupes qui se font de l’or sur leur dos et qui bien sûr sont soutenus par l’état!
Vous avez tout mon soutien