Déjà 992 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Ar. (Maine et Loire)
19 février 2024
Je souhaiterais un moratoire sur les interdictions de matières actives et les modifications de conditions d’utilisation. Depuis quelques années nous voyons de nouvelles restrictions d’utilisation sur la dose maximale autorisée, l’élargissement de DVP, l’interdiction sur sol drainé, sur sol drainé, sur sol argileux et de nouvelle distance vis à vis à des riverains. Certaines modifications deviennent applicable sous 15 jours. Exemple avec le prosulfocarbe. Comment gérer nos achats, nos assolement avec une réglementation qui change tous les 15 jours?
Aujourd’hui je dois renoncer à cultiver du tournesol sur une bonne partie de mon exploitation car je ne peux plus utiliser certains herbicides à cause de la présence de riverains et de cours alors que de l’autre coté la PAC nous impose de diversifier nos assolements.
Ces nouvelles restrictions ne sont que des nouvelles interdictions cachées et nous entraînent dans des impasses techniques.
Ar. (Maine et Loire)
19 février 2024
L’agriculture ne fonctionne pas avec des dates mais avec des saison et la météo.
La réglementation doit se baser sur des périodes minimales à respecter et définit par l’agriculteur afin que celles ci soient adaptées au contexte pédo climatique de chaque exploitation.
Les dates butoirs de notre administration sont source de stress et ne tiennent pas compte de la météo, de nos types de sol et de nos méthode de travail. Dans le Maine et Loire, la date de destruction des couverts est fixé au 15 novembre. Dans les terres humides et argileuses cette date est bien trop tardive. Alors pourquoi le 15 novembre? Pour laisser suffisamment de temps au contrôleurs d’effectuer leur contrôle durant la période de 6 semaines de présence du couvert. Les contrôleurs ne peuvent pas contrôler pendant le mois d’août..
Les dates sont adaptées uniquement au fonctionnement de l’administration elle même.
Ar. (Maine et Loire)
19 février 2024
Il faut changer la philosophie des contrôles pour le bien être des contrôleurs et des contrôlés. Aujourd’hui pour un agriculteur un contrôle va se terminer systématiquement par une sanctions financière car la réglementation est devenue tellement complexe qu’il est impossible de la respecter à 100%
Il faut mettre en place des contrôles pédagogiques avec des sanctions uniquement si les mêmes infractions sont relevées lors du contrôle suivant.
An. (Cher)
19 février 2024
BONJOUR JE TRAVAILLE DEPUIS TOUJOURS DANS LE MILIEU AGRICOLE . JE SUIS NEE DEDANS AUJOURD’HUI JE PEUX PRETENDRE A LA…
Ph. (Tarn)
19 février 2024
bonjour,
-refonte totale des prélèvements de la MSA avec un salaire mini pour le calcul des cotisations ( mini le smic ) arrêt maladie correspondant à un smic
-rendre le revenu agricole non imposable
-travailler en HT avec les entreprises assujetti à la TVA
Ph. (Tarn)
19 février 2024
bonjour,
-une année blanche obligatoire
-msa également
Bé. (Somme)
19 février 2024
Concernant l’irrigation le système utilisé dans la Somme accordant à l’exploitant une quantité d’eau à utiliser pendant la campagne d’irrigation est très adapté. La gestion volumétrique permet à l’agriculteur de gérer son eau en fonction de ses cultures de ses parcelles de ses variétés plus ou moins gourmandes en eau. dans les autres départements la règlement ion :pas le week-end, entre 22h et 6h… Est inadapté. Le système utilisé dans la Somme doit être généralisé au moins au niveau des Hauts de France. L’agriculteur respecte la quantité allouée et reste décisionnaire de son utilisation.
Er. (Tarn et Garonne)
19 février 2024
tout d abord merci pour la justesse de votre texte et merci de nous donner l occasion de nous exprimer
Nous…
Jm. (Somme)
19 février 2024
Il faut que nos enfants qui déjeunent dans nos cantines mangent des produits français .
Pour cela, les responsables des collectivités ( mairie/ département/ région ) doivent imposer aux personnels de l’achat public la commande de produits français et de produits locaux !
Da. (Vienne)
19 février 2024
comment imposer des normes et interdictions sur nos façons de produire alors que toutes ces contraintes ne son pas appliquées aux produits importés. si les importations n’ont pas le même cahier des charges que nos produits, les effets seront pire et contraire au but recherché ( sécurité alimentaire respect de l’environnement production locale et économie locale)
en France, beaucoup de productions sont possible, il faut juste s’en donner les moyens politiques.
les importations sont là pour venir combler un manque de production, et non se substituer totalement aux productions.
juste du bon sens, pour l’économie et l’écologie !!