Déjà 990 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
An. (Ardennes)
24 février 2024
Aujourd’hui, nous ne vivons plus de notre métier de paysan.
Nous sommes contraints d’avoir une autres activité professionnelle pour maintenir un niveau de vie et assumer financièrement la vie familiale.
Le prix du lait n’est pas assez rémunéré, pire depuis la hausse de l’énergie .
Contrôles phyto sanitaires sont obligatoires, importants , trop onéreux à la charge de l’exploitant et aucune aide pour cela .
En revanche, la pression bancaire est la pour le remboursement des prêts , le fermage .
Retirer 4 % de jachère est inconcevable , aucun salarié n’accepterait cette contrainte .
Yo. (Lot-et-Garonne)
24 février 2024
Arrêtons de « faire crever » les producteurs français en acceptant des accords étrangers qui causent une concurrence déloyale au marché français. Exemple : pruneaux en provenance du Chili.
Od. (Ardennes)
24 février 2024
Nous sommes contraints d’établir des certifications que nous payons pour obtenir des points en vue d’obtenir actuellement la PAC.
Trop de normes sur la jachère, trop de CIPAN , incohérentes avec le climat de nos régions.
Dépenses de semences pour rien.
Prix du matériel important
Prix des intrants de plus en plus important
La norme des 4 % jachère est insupportable , aucune autre profession ne supporte ses contraintes .
Pb de transmission à nos enfants commence à se poser pour nos exploitations: on perd notre identité et on perd notre patrimoine.
Ad. (Ardennes)
24 février 2024
je propose une réflexion sur une harmonisation des prix au niveau européen, avec un minimum garanti.
Un de mes objectif principal est d’envoyer un message fort et sécurisant aux jeunes pour leurs installations futures.
Rien ne sert de faire un EGALIM4 Franco-Français, il faudrait le faire à l’échelle de l’Europe.
Mieux vaut préserver nos agriculteurs européens que de multiplier les signatures de traités de libre-échanges
Al. (Loire Atlantique)
24 février 2024
Nous sommes avec mon épouse des retraités de l’agriculture et polypensionnés ( exploitant + salariés), le niveau de retraite est très bas avec 173 trimestres cotisés. moins de 1000 euros /
Forte Discrimination avec les autres professions .
Cette situation n’est pas gérée , 450 000 personnes en France, nous sommes oublies .
Lo. (Vendée)
24 février 2024
Ce n’est pas normal que l’on ne puisse pas être en mesure de se verser un salaire au vu du temps passé.
Nous faisons vivre et graviter un nombre d’entreprises et de personnes faramineux.
Il n’est pas normal que nous ne soyons pas en mesure de choisir ou participer à l’élaboration de nos prix de vente et que tout soit écrit d’avance.
Pourquoi tant d’importations ? Faisons vivre nos producteurs français.
Pour finir : »Des prix mais pas des primes !! »
Ge. (Somme)
24 février 2024
Continuer ne vous laissez pas embobiner par un jeune qui n’a jamais subit des fin de moi difficile et né avec une cuillère en argent.
Mi. (Ille et Vilaine)
24 février 2024
Les revenus sont en chute libre et fortement depuis 5 ans , bon nombre de produits sont importés beaucoup trop le lait ,la viande .
Jb. (Lot-et-Garonne)
24 février 2024
Trop de contraintes d’assolement, la liberté de creuser nos fossés et nos cours d’eau .
Trop de produits phyto interdits en France, autorisés dans d’autres pays .
Al. Seine-et-Marne
24 février 2024
Trop de contraintes d’assolement, la liberté de creuser nos fossés et nos cours d’eau .
Trop de produits phyto interdits en France, autorisés dans d’autres pays .