Déjà 602 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Fr. (Yvelines)
28 février 2024
La PAC devrait être traitée au niveau français sachant que l’Europe ne nous redistribue pas à la hauteur de nos contributions.
Les petites exploitations se retrouvent défavorisées face aux plus grandes.
Ch. (Nord)
28 février 2024
Je respecte la Constitution Française et la souveraineté française.
La souveraineté agricole est un pilier de notre souveraineté.
Les paysans incarnent la France et je ne comprends pas toutes ces contradictions entre la souveraineté de notre cher Pays, la France et la souveraineté Européenne.
Ce. (Finistère)
28 février 2024
J’aimerai que l’on diminue les IMPOTS, les CHARGES.
Il faudra alléger la REGLEMENTATION et créer des PRETS BONIFIES.
Pour commencer à améliorer le revenu des agriculteurs…
Di. (Lot-et-Garonne)
28 février 2024
Il faudrait que les agriculteurs touchent à la retraire au minimum le SMIC.
Jo. (Ille et Vilaine)
28 février 2024
L’administration voudrait nous interdire les buses palettes, excepté pour les parcelles de moins d’1 ha ou supérieures à 5% de pente. C’est une aberration. Nous devrions plutôt être sur la vulgarisation des bonnes pratiques.
Ol. (Essonne)
28 février 2024
Notre soucis principal est l’installation, au travers de l’achat du foncier.
Il faudrait faciliter les rencontres entre les futurs jeunes installés et les apporteurs de capitaux.
Re. (Lot-et-Garonne)
28 février 2024
Je souhaiterais un accès plus simplifié aux nappes, des coûts moindres et un arrêt définitif au SMEAG & cie…
Arrêter les prélèvements de taxes sur les lacs privés (retenues artificielles…).
Ce. (Tarn-et-Garonne)
28 février 2024
Revoir sérieusement, à mon avis, les barèmes sur les droits de succession.
Ph. (Sarthe)
28 février 2024
Je trouve que le minimum serait d’interdire partout en Europe et éventuellement dans le monde, tous les produits qui le sont en France.
Ne laissons plus entrer sur notre territoire français, tous les produits qui ne respecteraient pas NOS NORMES SANITAIRES FRANÇAISES.
Mi. (Sarthe)
28 février 2024
Si je pense aujourd’hui à l’agriculture, c’est le terme BurnOut qui me vient à l’esprit.
Nous n’en pouvons plus.
Le mal être est tel que nous ne voyons plus de perspectives d’avenir.