Déjà 990 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Di. (Vendée)
19 février 2024
Les produits des exploitations ne sont plus payés au prix réel du coût de production et la loi egalim qui a été créé n à jamais été en place. En ce qui concerne les retraites agricole elle sont loin d être satisfaisant et pourtant sur une vie passer en tant q exploitant ont en nourrit ont en fait vivre et ils ont une bien meilleur retraite
Ch. (Yonne)
19 février 2024
Les importations qui inondent nos marchés, avec des normes différentes de celles qui nous sont exigées, et des couts de productions bien inférieurs aux nôtres ( produits Ukrainiens sans droit de douane, entre autres … ) sont en train d’asphyxier la rentabilité économique de nos exploitations.
Cela me semble être un choix politique :
– produire local avec un cout et une qualité qui en découle
– importer au moins cher, avec toutes les conséquences que cela va engendrer.
Ayez au moins l’honnêteté d’être clair sur ce sujet ( et bien d’autres d’ailleurs ), car le » en même temps » n’est pas compatible avec notre profession qui travaille sur le temps long et pour laquelle l’anticipation est indispensable.
Comment nos jeunes peuvent ils envisager un projet avec une telle incertitude ?
Pa. (Lot et Garonne)
19 février 2024
agriculture moyenne de notre pays est foutu accable par le trop de charges qui en plus d etre concurence par d autres pays de l europe et du monde l est aussi a l interrieur de notre pays france car entre deux communes les impots fonciers s ont du simple au double en tarif il en va de meme pour le prix du foncier du loyer etc
donc oui cette agriculture moyenne est fichu avec nos gouvernements successifs qui s en foute en sans mettant pleins les poches
ne parlons pas de nos retraites non plus a 800 euros par moi qu’ elle honte
Ed. (Somme)
19 février 2024
Mettre en place un accompagnement bancaire pour aider les jeunes à investir et à reprendre les Ferme familiales, trop peu d’établissement bancaire veulent prendre le risque de financer les petites exploitations et jeunes agriculteur.
-diminution de l’administratif et des délais de réponse.
-avoir une marchandise d’importation au normes française afin de ne plus avoir de concurrence déloyale.(close miroir)
-stopper la pression agroenvironnemental et d’imposer des dates ou système de production ,Afin d’ adapter les exploitations leur environnement.
Em. (Rhône)
19 février 2024
Les produits agricoles doivent sortir progressivement de l’OMC afin d’aller vers plus d’autonomie et d’autosuffisance française puis européenne.
Ce qui veut dire moins d’importations en échange de voitures ou d’avions. Mais aussi moins d’exportations. Ces échanges font les choux gras de multinationales dont la FNSEA en dirige certaines.
Ce qui veut dire aussi que on importe moins de soja ou autres protéagineux et céréales donc un système d’élevage qui doit parfois changé.
Tout cela induit aussi une augmentation du prix des produits agricoles donc une augmentation de la part de l’alimentation dans le revenu moyen. Les dirigeant d’abord, puis les consommateurs doivent en avoir conscience.
La « TVA sociale » est une première mesure.
Sinon, le climat et la géopolitique vont s’en charger.
Jm. (Tarn et Garonne)
19 février 2024
Point ultra technique: Quand une retenue collinaire est sur un cour d’eau et que le cour d’eau est légalement soumis…
Ga. (Mayenne)
18 février 2024
Un revenu universel, revenu paysan ou revenu de base, de 1500 euros, qui, sur le principe de la prime d’activité vienne compléter ce que gagne le fermier. S’il lui reste 500 euros une fois tout payé 1000 euros lui sont envoyés, s’il a plus de 1500 euros une fois tout payé, l’état ne complète pas.
Er. (Indre et Loire)
18 février 2024
-inscrire le gabarit routier agricole (3.5m) dans la loi : à cause des chicanes et autre plantations , circulation impossible sur de nombreuses routes
-abrogation des ENS (espaces naturel sensible): harcèlement des agriculteurs par les gestionnaires
Se. (Hérault)
18 février 2024
Bonjour
Nous sommes une petite cave coopérative dans l’Hérault qui regroupe des petits viticulteurs qui en moyenne possèdent entre 1 a 3 ha après les contrôles de pulvérisateurs en moyenne 300€ chaque 3 ans les certiphytos maintenant on nous demande la mise en place du conseil stratégique phytosanitaire montant 500€ vous pouvez bien comprendre a ce rythme nous seront obligé de fermer la cave les acomptes ne sont pas très élevé et les coopérateurs commencent a ce décourager s’il faut payer encore une strate supplémentaire se sera la fin de la cave.
notre revendication est la suppression conseil stratégique phytosanitaire qui en plus est une norme française
merci
Serge GARCIA
Président de la cave Rabelais
Muscat de Mireval
Ge. (Isère)
18 février 2024
Je suis arboriculteur en vente directe sur les marchés de détails et en point de vente collectif.
De partout où s’implante des GRAND FRAIS, les marchés sont en perte de vitesse, voir disparaissent.
Ces magasins sont ouverts 7/7, il faudrait qu’ils soient fermés le dimanche , tout comme les grandes surfaces.
De plus, il faudrait renforcer les contrôles sur les marchés pour 2 choses:
– la provenance des fruits et légumes….
– les faux producteurs