Nous refusons toutes sortes de contrôles, humains ou satellitaires, tant que les gouvernants laissent rentrer en France des produits agricoles qui ne sont pas aux normes françaises.
Pas besoin de contrôles pédagogiques, nous connaissons notre travail, et tous les produits que l’on met dans nos champs nous les payons, donc nous en mettons le moins possible;

Bravo ! Et encore bravo ! Le foutage de gueule se poursuit ! Hier jeudi 29 février 2024, en même…

bien qu´expatrié en Allemagne depuis plusieurs décennies.
Je suis le combat des agriculteurs français aux travers des médias.
Fils de commerçant (mon père était boucher charcutier) en milieu rural, mes voisins avaient leur fermes tout autour de chez nous.
Sur une rue de 400 mètres de long on y comptait 5 fermes !
Je n´avais qu´à traverser la rue, chaque matin pour récupérer mon litre de lait, encore tiède sorti du pie des vaches.
Mon père leurs achetait des bœufs blancs pour la viande.
Quelle image idyllique alors.
Il nous faut retrouver notre indépendance nationale !
Vivement les Européennes de Juin.
Ici où j´habite c´est le même problème, alors que des troupeaux de moutons font parti du paysage, on ne trouve que du surgelé de Nouvelle-Zélande !? et du bœuf US dans nos assiettes.
Trop c´est trop…stop!!
Bravo CR pour vos prises de positions et vos combats
Avec vous par la pensée !
Cordialement
JP B.

Que l’on soit mieux informés sur nos droits et les choses qui sont mises en place afin de gérer au mieux notre trésorerie sans attendre d’être en souffrance.

La communication n’est pas suffisante et nous ne sommes informés que trop tard ou pas du tout parfois sur les aides ou marches à suivre mises en place.

Exple : j’ai rencontré mon conseiller financier à l’automne afin d’anticiper des pb de trésorerie à venir suite à la perte d’une vingtaine de mes porcs et aucune réponse à ce jour.

Simplifier l’administration et les dossiers.
Mieux communiquer sur les changements de réglementation et mises au normes.
J’ai dû traiter des aberrations plusieurs des aberrations sur mon exploitation.
Nous ne nous sentons pas du tout aidés.

Je vois disparaître la filiale dont je fais partie : la culture de la cerise 🍒
depuis que l’utilisation de certains produits phytos ont été totalement interdits.

En bordure de rivière, la ZNT (zone non traitée) de 5 mètres, à l’époque (pour certains produits) était acceptable mais désormais, les 20 mètres de distance qui nous sont imposés pour respecter les DVP depuis la nouvelle homologation des produits, nous pénalise énormément principalement sur nos petites parcelles.

« J’hésite à troquer mon tracteur contre un motoculteur ! »

Avoir un accompagnement digne de ce nom auprès de compagnies bancaires. Que l’on soit mieux soutenu et moins harcelé. Que les frais soient adaptés au situation que nous vivons parfois. Travaillons ensemble sans abus.

Que l’on nous laisse faire notre travail et diminue les contrôles.

Par exemple, sur l’AOP Comté, il y a énormément de contrôles, qui nous donnent l’impression d’être suivi au quotidien.

N’avons pas l’impression d’être « chez nous »…

Pour la survie de notre patrie (c’est-à-dire la terre de nos pères) et pour sa prospérité, le combat paysan est crucial. Il est crucial non seulement parce que les agriculteurs nourrissent la France, mais aussi parce qu’à eux tous ils cultivent et entretiennent notre terre, notre civilisation!
Ceux d’aujourd’hui sont assis sur les géants d’hier pour voir plus loin:
« Bernard de Chartres disait que nous sommes comme des nains assis sur des épaules de géants. Si nous voyons plus de choses et plus lointaines qu’eux, ce n’est pas à cause de la perspicacité de notre vue, ni de notre grandeur, c’est parce que nous sommes élevés par eux. »
Ces géants et leurs successeurs sont les garants de notre civilisation, nous sommes avec eux!

Une rémunération à la hauteur du travail fourni par les paysans.

Faire changer les mentalités en consommant un maximum de notre production française.