Déjà 602 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Le. (Eure-et-Loir)
28 février 2024
La réduction des produits phytos aujourd’hui pèse énormément sur notre production.
Nous pourrions accepter certaines suppressions mais à condition qu’elles soient un minimum gérées, je veux dire par là que nous soient proposées des alternatives EFFICACES et de QUALITE.
Jl. (Somme)
28 février 2024
N’importons pas ce que l’on est capable de produire chez nous.
(Cela permettrait, entre autre, de réduire l’impact carbone).
Th. (Eure)
28 février 2024
Bonjour vous avez raison on marche sur la tête : jachère , produit phytosanitaire, déclaration PAC on en a marre ont nous prend pour des pollueurs j ai peur de traiter au près des maisons on nous film même certains maires nous montre du doigt comme des gens à bannir c est dur je ne suis pas comme ça du tout je fait toujours attention .je suis de tout cœur avec vous cordialement
Mi. (Hérault)
28 février 2024
Un secteur d’activité qui se porte bien attire de nombreux acteurs, les nouvelles technologies, la drogue, etc. A l’inverse quand…
Pi. (Haute Vienne)
28 février 2024
Comment pouvons-nous accepter de voir entrer sur notre territoire des produits « soit-disant » BIO, à des tarifs qui nous font «crever » ?
Comment choisir entre vendre à perte ou conserver notre récolte ?
Ma. (Calvados)
27 février 2024
Le mal être des paysans est le miroir de notre pays
Jp. (Creuse)
27 février 2024
je souhaiterai qu’on évoque la nouvelle norme que l’UE veut mettre en place :le permis de conduire pour les tracteurs
il faut profiter du salon et de cette opportunité médiatique ,pour montrer le double langage
il semblerai que le parti Renew cautionne ce projet
il faut point par point prouver ses contradictions
Avec toute ma considération et mon humble soutien
Cl. (Saône et Loire)
27 février 2024
En ce qui concerne la fiscalité pour la filière équine, le retour au taux réduit pour les activités de reproduction a été une bonne chose. Cependant, la loi de finance n’a retenu le retour au taux réduit que pour les activités d’enseignement dans les centres équestres (ce que je trouve très bien) mais pourquoi ce taux réduit n’est-il pas retenu pour TOUTES les activités de la filière. Il serait normal que la TVA appliquée par les éleveurs lors de la première vente de leur produit (poulain, jeune cheval valorisé) soit au taux réduit car il s’agit bien d’un produit agricole reconnu comme tel dans le code rural. Je demande que toutes les activités de la filière Cheval reconnues comme agricoles dans le Code Rural puissent bénéficier du taux réduit de TVA au même titre que les autres productions.
Va. (Bas-Rhin)
27 février 2024
Trop pauvres pour toucher la prime de naissance…
Comme mon mari agriculteur a déclaré moins de 5000 euros de revenus en 2021, la MSA a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’un revenu et refuse de nous verser la prime de naissance et les 190 euros mensuels suite à la naissance de notre fils fin 2023.
Nous sommes tous les deux en déficit cette année, mais toujours pas de réaction de la part de la MSA…
Non seulement tu travailles pour rien, mais en plus la MSA au lieu de t’aider finit de t’enfoncer… pour une fois qu’on pensait avoir droit a qqchose, c’est encore raté…
Mc. (Tarn)
27 février 2024
Concurrence déloyale entre pays de l’union Europeenne, normes abusives, dossiers de plus en plus nombreux qui nous coûtent cher à faire remplir par divers organismes.
Matériel de culture hors de prix.
Et pour faire face quoi quelle solution ….. Continuer la spirale de l’agrandissement jusqu’à ouvrir la porte à l’industrialisation de notre agriculture Française !!!!!!