Déjà 987 contributions dans le Cahier National de Doléances et de Propositions !
Am. (Ariège)
11 mars 2024
Bonjour,
Trop de normes inadaptées, nous sommes une petite exploitation de haute montagne en Ariège 150 ovins viande ,160 poules pondeuses,…
Th. (Lot-et-Garonne)
9 mars 2024
On ne doit pas accepter ce que l’on ne peux pas produire à cause des normes mais personnellement il n’épouse faut je pense maintenir une agriculture exigeante pour l’environnement car on se fera rattraper par la société et la vie
Ma. (Charente-Maritime)
9 mars 2024
BONJOUR, NOUS LES PAYSANS
ON SE PREND LE MEPRIS DE TOUS CES BEAUX PARLEURS A LA TELE EN PLEINE FIGURE: ça se montre ,ça frime, ça vit dans son monde, ça va chez Fauchon acheter du bio sans le moindre souci de savoir combien d’effort il a fallu pour le produire!
L’ARGENT FACILE pour ces intellos de BOBOS
LES CENTIMES à GRATTER pour les PRODUCTEURS PROLOS
Je. (Indre-et-Loire)
8 mars 2024
Il serait bien que toute les association environnementale n’est aucune légitimité dans les commissions
Elles sont financé par qui ?
Elles paient quoi ?
Elles vivent sur des idéologies
Elles ont aucune conséquence sur leur décisions
Elles ne sont pas acteurs économiques
Toutes leur idéologie s’apposent au principe même du travail
Toutes les idées et décisions de ses association nom aucune incidence sur leur vie economique puisqu’elle n’ont pas
Elles nous imposent mais a aucun un moment elle paient car toutes les personnes pour leur contributions et obligation
Je. (Indre-et-Loire)
8 mars 2024
Beaucoup d’entre nous défendent l’agriculture au travers des agriculteurs, nous sommes la plus part propriétaire qu’avons nous le droit de faire Chez nous ?
Toutes les lois nous enlèvent notre liberté de jour en jour nos ancêtre ce sont battue pour être libre et aujourd’hui c’est le FNE qui nous les enlevés
Demain si on lit entre les lignes les terres seront un bien commun il y aura donc une agriculture sans agriculteur.
L’état doit entendre que ce n’est pas possible que se soit des minorités associative qui soit écouté
Ge. (Dordogne)
6 mars 2024
Puisque la grande distribution et l’agroalimentaire alimentaire finissent par imposer des prix trop faibles pour dégager un revenu viable , pourquoi ne pas organiser des coopératives agricoles recevant tous les produits d’agriculteurs locaux implantées à proximité immédiate de toute grande surface . C’est un droit . Le consommateur fera son choix entre d’un côté des produits venant de loin dont on sait peu de chose et à coup sûr dangereux pour la santé (on est ce qu’on mange) et la manette et de l’autre , a quelque dizaines de mètres un produit local dont on sait tout et surtout goûteux et excellent pour la santé et la planète .
Avis d’un profane .
Re. (Cote d’Or)
5 mars 2024
Je souhaite un préférence agricole française, des taxes a l’importation, un pac qui n’incite pas a la course a la surface (aide au nombre de personne, ou frais de douane qui soutiennent le marché Français), moins d’administratif
La. (Cotes d’Armor)
3 mars 2024
Arriver à contourner les appels d’offres en terme d’achat public afin que nos collectivités puissent nourrir nos enfants dans les cantines
Jm. (Vendée)
3 mars 2024
Prix Plancher!!!
Pour qui !!!
Pour Quoi!!!
Non c’est un prix rémunérateur indexé sur le coût réel de production qui doit servir de base pour chaque produit.
Voilà comment donner une vision à nos filières agricoles.
Voilà comment redonner un sens de choix et de décisions sur nos exploitations.
L’agriculteur ne peut pas servir de soupape entre la compression de prix dicté par la grande distribution et l’augmentation des charges.
Il faut une corrélation.
Am. (Seine Maritime)
3 mars 2024
Fermeture d.abattoirs empêche d’abattre nos moutons bio .
Nos animaux doivent être abattus loin parce que couteau bio.
Il s.applique des quotas pour l’abattage de nos animaux bio.